La part du Colibri 1ère partie

Durant de longues années, je fus « tiraillée » dans mon cadre de vie. Je sentais poindre en moi un irrésistible besoin de vivre nature, je désirai vivre simplement, apporter ma contribution pour sauver la planète, mais autour de moi c’était irréalisable.

Depuis de nombreux changements ont eu lieu dans cette vie. La nouvelle mouture est là qui se met en place lentement peut-être, mais sûrement.

J’ai commencé à me documenter par diverses lectures, des visites de salons et des sites Internet.

Malgré tout, j’avais déjà entrepris de faire simple depuis longtemps pour certaines activités, notamment m’abonner à la bibliothèque municipale, pas de frais d’achat et pas de rangement à prévoir !!!

Le premier livre fut : La vie simple mode d’emploi d’Elaine James (ici)

          Voici un bref aperçu de son contenu :

« Si vous en avez assez des journées trop longues, des journées trop courtes, du patron qui décide pour vous, des enfants qui grandissent sans vous … Ce livre risque de vous simplifier la vie. La vie simple, ça ne veut pas dire partir garder des chèvres dans le Larzac ou porter son linge sale à maman. La vie simple, c’est ici et tout de suite ! A force d’en vouloir trop, vous avez fini par passer à côté de l’essentiel. Reste à savoir ce qui est essentiel pour vous et à vous dégager en douceur de ce qui ne l’est pas. A trouver du temps pour vous consacrer à votre famille, à vos amis, à votre environnement et pourquoi pas, au reste du monde. Maintenant, il peut être temps de passer à autre chose. Prenez le temps de feuilleter ce livre. Il va vous changer la vie. »

Ouf !!! enfin une personne qui pensait comme moi et qui en plus écrivait un livre sur le sujet, je n’étais donc pas si débile que cela et surtout pas la seule à vouloir vivre simplement.

A suivre…..

Comments

[cilou]

je ne pense pas que cet écrivain soit le seul à penser comme vous. Simplement, je pense qu'il faut avoir fait un travail sur soi pour aboutir à ce besoin de "simplicité". C'est difficile d'aboutir à ce constat quand on est confronté à un quotidien où on est obligé de s'oublier pour "survir"...
je me sens souvent en décalage avec cette société de consommation où tout doit s'acheter et se jeter. Pourquoi ne pas fabriquer et recycler ?...rien de "débile" avec cette attitude, simplement il faut accepter que tout le monde ne souhaite pas vivre comme nous. en "conscience".